Prix Anonym’us (2018)

Le « Prix Anonym’us » revient pour une quatrième édition !

LE PRINCIPE

Le principe ne change pas et mettra en lice des auteurs français qui écriront une nouvelle de 10 pages maxi. « Open bar » sur le sujet, aucune contrainte, sauf à produire du « noir ».

Ces nouvelles seront envoyées aux lecteurs participants ou/et seront lisibles sur le site internet du prix http://trophee-anonymus.blogspot.fr/p/accueil.html, sur ce blog évidemment et bien d’autres.

Les nouvelles resteront anonymes pour les lecteurs, seul Eric Maravélias, GO du prix et auteur du prix, et Anne Denost auront toutes les informations. Aux lecteurs qui j(o)u(g)eront de trouver qui a écrit quoi et d’élire la meilleure nouvelle.

Date limite de dépôt des nouvelles par les auteurs : 31 décembre 2017.

Date limite de vote du jury : 31 mars 2018.

Le principe du vote est simple : des points sont attribuées aux nouvelles en fonction des classements donnés par les membres du jury. On additionne et ou voit qui arrive en tête… C’est un bel exemple de démocratie participative !

Le prix : une statuette faite à la main par Éric. Le prix sera remis dans le cadre du salon « Les Pontons Flingueurs » à Annecy.

LES LIENS VERS LES NOUVELLES EN LICE

  1. Quand j’étais Jessica Jones
  2. Case management
  3. No man’s land
  4. Le 18h43
  5. Kill’Em All
  6. Je t’emmène au bois
  7. Le chemin de croix
  8. 5000
  9. L’envers du décor
  10. A l’intérieur
  11. La burqa invisible
  12. Le fil du rasoir
  13. Bintje
  14. Béton armé
  15. La belle Otero
  16. In memory I am
  17. #IB Challenge
  18. Violence ordinaire
  19. Mortelle soirée
  20. Quelques heures de civilisation
  21. Article 222-13
  22. Chez eux

LES RÉSULTATS (PARTIELS)

A venir…

LES AUTEURS PARTICIPANTS

Cette rubrique présente les auteurs (par ordre alphabétique) avec une mini bio (de leur cru si possible) et leur dernière parution.

ANTOINE Amélie

Après Combien de temps, un récit autobiographique, Amélie Antoine publie en 2015 en autoédition un premier roman, Fidèle au poste, qui connaît aussitôt un vif succès avant d’être repéré par les éditions Michel Lafon et de sortir en librairie en 2016. Ce thriller psychologique, traduit aux États-Unis, a déjà conquis plus de 250 000 lecteurs à travers le monde et est en cours d’adaptation pour le cinéma.

Son deuxième roman, Au nom de quoi, sort d’abord sous le pseudonyme de Dorian Meune. Ce texte-hommage aborde les attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan par le biais de personnages fictifs.

Son nouveau roman, Quand on n’a que l’humour…, est sorti en librairie en 2017.

BIZIEN Jean-Luc

Jean-Luc Bizien est né en 1963 à Phnom-Penh.

Il débute dans le Jeu de rôle avec Hurlements (1989), puis Chimères (1994, Prix Casus Belli dans les catégories « Meilleure création française » et « Meilleur jeu de l’année »)

Depuis, il écrit dans tous les genres, passant avec bonheur de la littérature blanche (Marie Joly, éditions Sabine Wespieser, 2004) au thriller, de la jeunesse à la fantasy.

Plus de deux millions cinq cent mille exemplaires de ses livres-jeux (collections Vivez l’Aventure et 50 surprises) ont été vendus par les éditions Gründ, pour lesquelles il a créé la série Justin Case.

En 2002, WonderlandZ a obtenu les prix Fantastic’Arts de Gerardmer et La Mort en prime time le Prix du Roman d’aventure (éditions du Masque). En 2010, La Chambre mortuaire (éditions 10-18) remporte le prix Lion Noir du salon de Neuilly-Plaisance. Le Berceau des ténèbres (éditions du Toucan) a reçu plus récemment le prix Sang d’Encre de la ville de Vienne. Crotales, son dernier roman policier paru, est en concours pour le prestigieux Prix du festival de Cognac.

Il songe aujourd’hui à une nouvelle série de thrillers historiques pour les adultes, à une dystopie pour les adolescents et rêve d’écrire un roman dont l’action se déroulerait en Corse, où il vit avec grand bonheur depuis quelques années.

Les œuvres dont il est le plus fier sont cependant ses deux fils, Elric et Adriel, respectivement parus en 1990 et 2005.

BRANCIARD Marie-Hélène

Née au siècle dernier, Marie-Hélène Branciard a été successivement pigiste, chargée d’études sociologiques, webmaster… Avant son polar #Jenaipasportéplainte, elle a publié un premier roman : Les loups du remords, un récit entre nostalgie et quête initiatique avec de beaux flash-back sur un groupe d’amis dans les années 90.

Actuellement webmaster pour le Salon des Livres en Beaujolais, elle écrit son troisième roman et tient un blog dédié au design et à l’écriture. Son polar #Jenaipasportéplainte a été sélectionné pour le Prix Hors Concours 2016.

CALESTREME Natacha

Après un parcourt de vente d’espace publicitaire, je deviens auteur pour France 2 et France 3, puis pour TF1 au sein de l’unité divertissement. Je dirige une équipe d’auteurs et adapte des concepts étrangers. En 1999, je rejoins M6 international où on me confie le reformatage des documentaires pour l’étranger. En parallèle, je deviens journaliste pour différents magazines et quotidiens avec une spécialité : l’environnement.

Je réalise ensuite ma propre collection de documentaires, des portraits de personnes engagées « Les héros de la nature », pour France 3 et France 5 et une vingtaine de chaînes étrangères. Je consacre mes films suivants à la mortalité des abeilles, au réchauffement climatique et à la santé, puis je réalise les « Enquêtes Extraordinaires », dédiées au surnaturel pour Bonne Pioche et M6 dont les derniers ont été diffusés en prime time. Depuis janvier 2016, je réalise et présente l’émission « Sur les chemins de la santé » diffusée sur Inrees.tv.

Avec un goût prononcé pour le suspense et l’art de la narration, j’écris depuis 2011 des thrillers aux Editions Albin Michel dans lesquels je partage les « recettes » qui m’ont permis de faire face aux épreuves de la vie. J’ai un héros récurrent, Yoann Clivel, un homme dont les femmes tombent généralement amoureuses (on me le dit si souvent) et dont chaque enquête le fait avancer sur son chemin de vie. Dans « Le testament des abeilles » j’aborde notre rapport à la nature, aux forces telluriques et le travail des guérisseurs. Dans « Le voile des apparences », la vie après la mort et la communication avec les défunts. Avec « Les racines du sang », je montre que nos épreuves se reproduisent sous forme de cycles et la manière de s’en défaire. Depuis 2016, je donne également des cours de scénario à la cité du cinéma de Luc Besson.

 

CHOLLET Claudine

Claudine Chollet, 69 ans, vit à Amboise. Son premier roman policier, un « POULPE », publié en 2001 chez La Baleine-Le Seuil connaît un vrai succès. Elle se lance alors dans une série policière dont le personnage principal, l’intuitif et sympathique « POLYCARPE », mène avec humour des enquêtes criminelles sur fond de chronique villageoise. Les 7 volumes des « Polycarpe » sont disponibles en version numérique et en version audio pour les malvoyants.

Elle est la cofondatrice de POLAR SUR LOIRE, salon du roman policier ligérien qui a lieu fin novembre à TOURS.

DORMOND Sabine

En attente – En attente – En attente…

DUPLESSIER Nicolas

Né en 1978 à Melun, Nicolas rêve de cinéma, passe ses journées à arpenter les allées de son vidéo club de quartier et des heures à visionner des VHS. Chaque été, avec ses frères et cousins dans l’Yonne profonde, il tourne des petits films de Karaté ou inspiré du cinéma qu’il aime. Au début des années 2000, persuadé que ces bouts d’essai sont géniaux, il les diffuse sur les rares sites internet consacrés au cinéma amateur. Après avoir lu Ellroy, Goodis, Crews, Block, Cook… il laisse de côté la carrière de réalisateur dont il rêve et se tourne vers l’écriture, plus accessible, sans entraves et moins onéreuse. Il aime le roman noir, qui est pour lui la forme littéraire et romanesque la plus aboutie et un outil formidable pour explorer l’éventail des émotions humaines. Comme Taratino, qu’il découvre à 15 ans et dont il vénère les trois premiers films, son univers est gavé d’influences cinématographique. Nicolas use de dizaine de références empruntés au cinéma des années 90. Il montre, de cette manière l’amoureux du noir qu’il est. Lecteur et cinéphile boulimique, il est l’auteur d’un premier roman « été pourri à Melun plage ». Il anime également depuis peu une chaîne Youtube sur laquelle il partage ces chroniques lectures. Il travaille actuellement sur un second roman.

ELEONORI Damien

Damien Eleonori est un auteur né en 1980, originaire de Metz.

Après une adolescence bercée par les romans de Jules Verne, de Stephen King, aussi bien que par les jeux vidéo et mangas, il se tourne pourtant vers un métier de chef de projet en informatique.

A 32 ans, par pur hasard, il se découvre une passion pour l’écriture. Son premier roman, Psyché, parait en Septembre 2015 et rencontre de très bonnes critiques au sein de la blogosphère littéraire. Thriller teinté de mysticisme et profondément ancré dans la réalité, ce roman séduit par son effet puzzle.

Très actif sur les réseaux sociaux, il profite de ces outils pour créer une réelle entraide entre auteurs non édités. Il monte alors un projet solidaire regroupant des auteurs d’horizons différents, Phobia, qui sera édité en mars 2018.

Il travaille actuellement sur son deuxième roman, la suite directe de Psyché.

FEL Jérémy

Donc pour les infos, je suis né au Havre en 1979. Après un bac L, j’ai été étudiant en philo à Nanterre, j’ai ensuite enchaîné les petits boulots puis tenté de monter une libraire spécialisée dans les littératures de l’imaginaire. « Les loups » est mon premier roman, je vis actuellement sur Paris, le prochain sort l’année prochaine… Voilà en fait je ne sais pas quoi dire de plus, je te joins une bio faite par le Figaro qui me semble pas trop mal (mais « scénariste de court métrage » ça n’existe pas haha, enfin c’est pas un métier, j’ai juste écrit les scénarios des courts que je voulais réaliser, avant de passer vraiment à l’écriture…).

FORGE Sylvain

Sylvain Forge vit à Nantes depuis plusieurs années. Pour cet amateur de théâtre et de jeu de rôles, qui a depuis longtemps le goût de raconter des histoires, l’écriture est apparue comme une suite naturelle. Après un second polar se déroulant dans le Vichy des années d’Occupation (Le vallon des Parques, Éditions du Toucan), il a mis la cité des Ducs de Bretagne au centre d’un nouveau roman à suspens : la Trace du silure (même éditeur). Sur les bords de Loire, de sinistres secrets dorment dans la vase. À commencer par le premier : un ermite retrouvé mort sur l’île Héron qui souffrait d’électro hypersensibilité. Sylvain Forge aime Nantes et ses mystères et vient de boucler pour l’association nantaise « Graines d’Europe » trois road-book sur les traces des influences européennes de la métropole atlantique.

Son polar, « Un parfum de soufre » (2015), a obtenu la plume d’argent du thriller francophone. Le musée Jules Verne de Nantes propose un jeu de piste pour adolescents (Le secret du carnet aux serpents) imaginé par l’auteur et dont la trame s’inspire d’un « parfum de soufre ».

« Sous la ville » (juin 2016), aux Éditions du Toucan, met en scène un policier fils de harki. Finaliste prix POLAR du meilleur roman francophone, festival Cognac 2016 et finaliste pour le prix de la ville à MAUVES EN NOIR 2017.

Son dernier roman – « Pire que le mal » – est sorti aux Éditions du Toucan le 15 mars 2017.

JEANDE Véronique

Véronique B. Jeandé, de son véritable nom Anne O’nymus, est née dans la banlieue parisienne au XXe siècle. Pendant que certains jetaient des pavés et des cocktails Molotov au-dessus des barricades, elle empilait ses cubes derrière les barreaux de son parc. Son intérêt pour le monde s’est éveillé le jour où l’homme a fait un petit pas et l’humanité un bond de géant. C’est peut-être ce qui expliquera plus tard son engouement pour les paysages islandais.

Elle a usé ses fonds de culottes sur les bancs d’une école paisible, à une époque où les téléphones portables n’existaient que dans les romans de science-fiction. Après avoir suivi des études tout à fait classiques, elle s’est orientée dans la filière « Moto, Boulot, Dodo », en souscrivant l’option séjours à l’étranger cinq semaines par an, n’hésitant pas à troquer sa moto contre un chameau ou un betchak lorsque cela s’avérait plus approprié.

En 2003, l’arrivée du sieur Fan, Tom pour les intimes, va bouleverser sa vie. Un peu moins de moto, un peu moins de voyages et une envie irrésistible de prendre la plume. Son premier roman, écrit initialement sous le pseudonyme de Jane Doe, a ensuite été publié aux Éditions Vieux Crayons jusqu’à ce qu’elle préfère se tailler pour rejoindre la communauté des Indés. Ce n’est que bien plus tard que son talent sera récompensé, lorsqu’elle se verra décerner le célèbre Prix Pudeliseur.

Le thriller sous toutes ses formes reste son genre de prédilection. En observant le titre de ses ouvrages, on ne peut manquer de s’interroger sur l’attirance dont elle semble faire preuve pour les mathématiques et la géométrie : « Le Cercle Manteia », « La couleur du deux », « La cinquième clé », « Borderline »… « Peut-être car dans le monde réel, je suis plutôt carrée », se contente-t-elle de répondre. Quelques courts essais autobiographiques viendront compléter ses écrits. Toutefois, force est de constater qu’il s’agit d’un domaine dans lequel elle manque quelque peu de rigueur et de conformisme. Oups.

JOLIBERT Stéphane

En attente – En attente – En attente…

KAAN Jess

copyright Marc Bailly

Quarantenaire, nordiste dans l’âme, Jess Kaan est un auteur éclectique, puisqu’il a d’abord œuvré dans les littératures de l’imaginaire (fantastique, sf, fantasy). En 2013, il signe le LABEL N, un épisode de la série L’embaumeur à l’atelier Mosesu, puis il embraye avec un policier historique LE SECRET DE LA PETITE DEMOISELLE, Pôle Nord Editions. Prenant goût à cette littérature du sombre et du social, il publie PUNK FRICTION aux Editions Lajouanie en juillet 2017 et il espère pouvoir continuer.

Jess Kaan a reçu le prix Merlin, en 2002, pour sa nouvelle L’affaire des Elfes Vérolés, le prix de l’armée des douze singes et en 2014 le Prix Masterton pour son roman Créature du Miroir.

Ses récits, il les ancre volontiers dans le Nord Pas de Calais, sans pour autant apprécier l’étiquette d’auteur régional.

LE MAITRE Magali

Originaire de Lille, Magali Le Maître a enseigné durant dix ans auprès des enfants du voyage et d’enfants en situation de handicap. Lauréate du printemps des Poètes en 2011, elle se consacre alors à l’écriture, publiant deux recueils de poèmes aux éditions Cénacle de Douayeul. Parallèlement, elle coécrit deux scénarios de court-métrages avec le réalisateur Sébastien Catteau, tournés en 2011 et 2013. Elle écrit également des articles de presse culturelle ainsi que des légendes d’ouvrages photographiques, travaillant notamment avec Thomas Muselet. En 2015, Magali Le Maître se lance dans l’écriture de comptines, de contes et de nouvelles, ainsi que dans le roman noir aux éditions Fleur Sauvage, avec son polar « Quelqu’un comme elle » en 2015 et son thriller « Le bal de ses nuits » en 2017.

LENNART Tara

Journaliste, fille de journaliste et petite-fille de journaliste. Vit entre Paris et le Périgord Noir, où elle passe beaucoup de temps à couper du bois autour de sa maison écologique et design. Un peu comme les écrivains américains qu’elle vénère. Si elle n’était pas végétarienne, elle pêcherait sans doute la truite.

Férue de littérature américaine, elle jure (comme un bûcheron) par Bret Easton Ellis et John Fante, sans oublier… tous les autres… Elevée dans un esprit éclectique que l’on n’appelait pas encore bobo, elle s’attache à une certaine Marguerite Duras que sa mère lui fait découvrir juste après le Club des Cinq et Rimbaud.

En 2014, cette jeune fille chic crée BooKalicious, média web, indépendant évidemment, dédié à la littérature indépendante.

MANEVAL Eric

Eric Maneval a 50 ans. Il vit à Marseille. Parfois, il écrit.

MARMION Luce

Parisienne de naissance et de vie, Luce Marmion a aussi passé quelques années au Mans et à Gâvres, une presqu’île du Morbihan. Elle a écrit des poésies, des nouvelles et des fictions parmi lesquelles un manuscrit romancé sur l’un des membres du groupe terroriste Action Directe, un autre pour jeunes adultes, Seine de sang (non soumis à l’édition).

Son premier roman noir, Le vol de Lucrèce, a été publié aux éditions Pavillon Noir en novembre 2016, le second, Le mur dans la peau, en septembre 2017 dans la même collection. Un troisième thriller et un roman social sont en active construction.

Après des études de lettres et de musicologie, elle a enseigné durant de longues années dans le secondaire (collèges, lycées), période au cours de laquelle elle a mis en scène des pièces de théâtre et des adaptations d’opéras, dirigé des groupes instrumentaux et composé une comédie musicale. Parallèlement, elle a exercé diverses activités hétéroclites : traduction anglaises de textes économiques et littéraires, piges journalistiques, hôtesse d’accueil dans un hôtel un peu louche, jobs à l’étranger (galeries d’art), participation à la production de décors pour le cinéma et la pub…

La fréquentation de la société artistique, aussi bien visuelle que musicale ou littéraire, ainsi que le contact avec d’autres milieux plus souterrains, lui ont permis de rencontrer une palette de caractères dont elle s’inspire dans ses romans. Sans oublier l’un des acteurs principaux de ses textes : le lieu, personnage à part entière dont l’empreinte a une véritable influence dans ses récits. Le décor parisien, ses recoins les plus glauques et ses murs fleuris d’œuvres de graffeurs est pour elle une source intarissable.

Si elle a pris le parti du polar pour s’exprimer, c’est avec la détermination de coller à l’actualité, de donner vie à des héros tourmentés, complexes, souvent à la marge, mais surtout par goût de composer une intrigue et de la mener jusqu’à son aboutissement.

MEHDI Cloé

Cloé Mehdi est née en 1992 près de Lyon. Elle commence à écrire au collège pour passer le temps. Refusée en section littéraire, elle quitte le lycée en seconde et, revancharde, s’entête à se faire publier ; elle y parviendra en 2014 avec Monstres en cavale aux éditions du Masque (prix du premier roman policier du festival de Beaune), suivi de Rien ne se perd, deux ans plus tard, chez Jigal (prix Dora-Suarez, prix Etudiant du polar, prix Mystère de la critique).

 

OSMONT James

James Osmont, 35 ans, originaire de Brest en Bretagne, je suis auteur-photographe depuis plusieurs années, je montre régulièrement mon travail dans le cadre l’expositions depuis 2013. J’exerce par ailleurs la profession d’infirmier en psychiatrie, domaine méconnu, tourmenté et profondément humain, souvent caricaturé ou abordé superficiellement en littérature, à grands renforts d’archétypes…

L’écriture m’accompagne depuis longtemps, ayant animé un fanzine musical pendant plus de 10 ans.

En 2016, j’ai publié en auto-édition deux premiers romans, « Regis » & « Sandrine », des œuvres de fiction mêlées de drame et de suspens, de violence et de poésie…

En février 2017, « Regis » remporte le prix littéraire LES PETITS MOTS DE LIBRAIRES dans la catégorie « découverte polar/thriller ».

PESTY Fabien

Fabien Pesty a passé la canicule de 76 dans le ventre de sa maman. Il en entend encore parler, merci bien ! Ses parents sont forains, et Fabien vit son enfance dans la caravane familiale. Durant sa scolarité, il passe ses semaines en pension chez son oncle et sa tante, dans le Loiret.

C’est en décembre 1983 qu’il s’essaiera pour la première fois à l’écriture, dans un texte intitulé « Lettre au Père-Noël ». Cette expérience sera un fiasco total puisqu’au lieu du train Légo commandé, cette grosse baderne de Père-Noël lui livrera des livres, un bilboquet et une clémentine. L’arnaque.

Fabien redécouvre les plaisirs de l’écriture assez tardivement, vers 2008, par le biais d’un jeu : sur Internet, il participe à des défis littéraires dans lesquels il doit rédiger des histoires à partir de situations et de locutions imposées, puis il s’attaque à la rédaction d’articles anticlopédiques tels que « les Vikings », « le moule à gaufres », « les méchants dans les films de Terrence Hill et Bud Spencer »…

En 2009, il ouvre un site consacré à ses écrits, « Stipe se laisse pousser le blog », afin de confronter son travail au regard public. Une petite communauté enthousiaste se crée autour de ce blog, et les retours que Fabien obtient l’encouragent à aller plus loin. Il participe alors à des concours de nouvelles et obtient plusieurs prix.

« La cour des innocents » voit le jour en mars 2014. C’est un recueil de 15 nouvelles, parfois sombres, souvent cyniques, mais toujours à l’humour ravageur, et qui décline le terme d’innocence sous toutes ses facettes, surtout les moins reluisantes. Puis un second recueil de nouvelles, « La hauteur de l’horizon », suivra en 2015, toujours aux éditions Paul & Mike, toujours dans cette veine absurde, cynique, noire, mordante et légère. Dans son émission « La grande librairie » du 16 mars 2015, François Busnel passera mystérieusement sous silence la sortie de ce chef d’œuvre, preuve en est que les écrits de Fabien Pesty dérangent et menacent de troubler le bel équilibre du landerneau littéraire français. Ou alors y’a une autre raison, mais je vois pas.

ROBIN Yvan

Yvan Robin a 30 ans, il vit à Bordeaux. Il n’est pas diplômé du Liberal Arts College de Camden, et n’enseigne pas la Creative Writing à l’UCLA. Les neurosciences ne l’intéressent guère, pas plus que la physique cantique ou les mathématiques appliquées. Il n’entretient pas de relation torride avec une actrice célèbre ou anorexique, et n’a pas de prédispositions particulières pour les sports de contact. Les animaux domestiques l’indiffèrent. Il a néanmoins publié « La disgrâce des noyés » aux éditions Baleine en 2011, et « Travailler tue » plus récemment, aux éditions Lajouanie.

SAFSAF Nacer

En attente – En attente – En attente…

VERNET Lou Valérie

La lecture fait partie de ma vie depuis toujours. Ma grand-mère, m’a appris à lire avant même de rentrer à l’école. J’ai passé, dès lors, de nombreuses heures à la bibliothèque et recevait systématiquement des livres en cadeau. J’ai tout dévoré …Club des 5, Fantômette, Alice… Je lisais tout ce qui me passait sous la main. Au point qu’à 12 ans, ma grand-mère, est intervenue auprès de la bibliothécaire pour que, malgré mon âge, j’aie le droit de passer à la section adulte…Je suis devenue, ce qui n’était pas une évidence à cette époque, la seule enfant avec une carte de bibliothèque adulte ! Pas besoin de vous dire que j’étais fière !!!

Vers l’âge de 13-14 ans j’ai véritablement viré du côté obscur. Stephen King, Koontz, Anne Rice m’ont, comme beaucoup d’autres, ouvert la voie. Plus fantastique à cette période, j’avoue, aujourd’hui, préférer les histoires plus encrée dans la réalité. J’aime les intrigues, les histoires qui finissent mal. Mener ma propre enquête et essayer de découvrir qui est le tueur avant la fin, jouer au policier. Mais surtout, plonger dans ce qu’il peut y avoir de plus obscure chez la gente humaine, traîner dans ces tréfonds sombres noirs…et fascinants…

J’ai une formation de laborantine en médecine légale, spécialisée en toxicologie et ai travaillé plusieurs années à l’institut de médecine légale de Lausanne. Travail qui était une vraie passion. Les aléas de la vie m’ont malheureusement obligé à quitter…ce qui restera ma grande frustration…

J’ai quitté la Suisse et ai vécu presque 5 ans aux Etats-Unis, dans la banlieue de Los Angeles où est née ma fille Elisa qui a maintenant 15 ans. J’ai vécu ensuite 2 ans à Francfort où est né mon fils Nicolas, bientôt 14 ans. Expériences plus qu’enrichissantes !

Des problèmes de santé m’ont obligée à arrêter ces passions créatives et la lecture a pris plus de place encore et devenue même ma bouée de sauvetage. L’idée m’est venue de créer quelque chose qui reste, qui soit aussi comme mon historique de lecture. Un rappel de tous les livres lus, une trace. Je me suis très vite prise au jeu et me suis rendue compte que je tenais là, enfin, le moyen de partager cette grande passion !


 

 

Précision : les nouvelles appartiennent à leurs auteurs, toutefois, les copies, diffusions, et impressions sont autorisées et bienvenues ; seules les éditions sont interdites.